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With love, echo.


30 octobre 2008

Copier/Coller

Les jeunes blancs, avec leur couvre chef façon 22e siècle, coincé entre un poteau électrique et la maréchaussée, des coups d'oeil qui s'égare le temps d'échange de sucre en poudre.
Ce soir je planne et vous plannez au même verbe.
A demain, lorsqu'il fera à nouveau nuit et que je n'aurai plus conscience de mes attitudes.

28 octobre 2008

Sois Mignon, Colorie Moi!

Te rappelles-tu
Les Adolescents?
Quand les filles leur tirent leur chemise
Et leur crient de mariage?


Derrière le vieux pc, un "VENUS" gravé, j'imagine Mars, son glaive en avant, mais Vulcain n'apprécie pas que l'on touche à sa meuf, alors on préférera dire qu'Aphrodite a trompé Héphaïstos avec Adès, histoire de faire plus classe!
/
Nous passons avec les saisons et bientôt les jeunettes de 30 années compteront les sillons sur leur lisse visage.
Ne pleure pas fillette, la vieillesse ne rattrape qu'au moment venu où tes membres engourdis décideront de céder sous le poids des âges.
Demain et pas aujourd'hui.
Maintenant et pas hier.
/
Les jeunes encagoulés, coincés dans des cages à poule entre leur benjamin de 3 ans et leur mère divorcée.
Les petits blonds dans leur chemisier Scapa, au cours de piano à pincer les fesses de la prof.
La vie et ses merdes entre-autre, on a sa place au soleil, mais certain n'ont par reçu de crème anti-UVB.
/
Les filles stupides qui rougissent et qui frappent, les mecs sensibles qui pleurent et qui râlent.
La Terre tourne, nous ne sentons rien.
/
Les Divagations possèdent 3 "fans", intéressant, ... Balancez des noms!
/
"Write your name in a comment if you read this article"
Voici le jeu!
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Embrasses moi, sur les lèvres, mais pas trop fort, mais pas trop vite, en fait ne m'embrasses pas, restes où tu es, je contemple puis je réfléchi.
Dans ton fort intérieur les questionnements fusent "Est-elle débile?" "Pourquoi ne se tait-elle pas?" "J'en ai assez!"
Je pose un doigt sur la bouche, chut, jouons au Roi du Silence!
Le premier qui avance sans bruit détrône et prend place, le reste, ... à la potence!
/
Festoyons, le roy et mort, vive le roy!
/
Et merde, vous aussi vous me cognez dans la tête, je pense aux lettres et rimes que vous lisez, dois-je passer à côté du fait que vous y pensez?
Divagueux, creux à mon âme et si pleins dans mon esprit, lorsque tu te noies dans ses yeux, sans vraiment savoir pourquoi, lorsque tu blablutes des choses qu'il ne comprend pas, lorsque tu tends les lèvres mais qu'il ne regarde pas et puis toute ces fois où ton esprit semble exploser parce qu'il n'est pas là.
Stupidité de ton coeur, d'être rempli d'envie que tu ne sais exprimer, exorciser.
Lorsque tu crois savoir mais que tu ne sais pas, que tu tentes de lire entre ses lignes mais que tu n'y arrives pas, tu interprètes des phrases et des attitudes qu'il n'adopte pas, tu confères cela à ton bon vouloir, à tes désirs secrets, refoulés et cachés.
Tu t'enfonces dans des illusions sans pareil, t'imaginant planer au dessus de monts et merveilles.
Tu filmes des ébats qui n'ont jamais lieu, des scènes préparées, cousues mains, que toi seule fais s'emballer.
Tu veux crier sur tout les toits que ton coeur enfle à en imploser, tu en parles avec nervosité, crise de conscience, perte de conscience.
Tu vis pour des regards, des bonjour, des au revoir, tu ris de tes sottises puis t'en mors les doigts.
Tu craques sous le poids, tu pleures et tu cries, tu veux l'emballer, le détourner pourquoi pas l'enfourner, mais tu sembles si transparente lorsqu'il regarde de ton côté, pauvre fleure aux pétales pourris, tu n'as plus le goût de ta fraîcheur dantant, lorsqu'on pouvait te faire porter des robes en dentelle blanches, te regarder courir dans les prés.
Et où sont les lèvres carmins que tu semblais lui faire miroiter?
Loin derrière toi, on semble t'avoir volé quelques baisers.
Et ces courbes voluptueuses que tu sembles avoir tant de mal à dissimuler.
Aujourd'hui mais plus comme hier, demain mais pire que maintenant.
/
Alors tu rechignes et jalouses celles qui ne le sont pas, tu rentres dans tes coquilles multiples, tu oublies et te remémores.
Tu vois des visages, mais ta tête ne suit pas, je manque à ton coeur mais ta tête ne suit pas.
Patience, chaque jour sa récompense.

26 octobre 2008

Lush Life

Echo. is on it.

23 octobre 2008

Appartenir A Quelque Part

Une nana me harcèle
Une fake?
Je n'en sais plus trop rien
Je te le laisse




Le soir tombe toute à l'heure, on me parle de vernissage, de soirées dvd et de course à pied.
Je compte, je choisirai plus tard.


Les jeunes qui tracent sur vos murs les matricules de leur vie.


Ce matin, ...


Sur sa bulle bleue, l'Homme fait figure d'animal exotique.
L'Homme marche sur principe de signaux, le rouge signifie attention où "viens par ici", une flèche tournée dans un sens ou un autre, indique une direction, un pictogramme représentant un élément connu de son environnement lui permet de connaître sa présence sur le territoire.

L'Homme fait sa vie dans des boites de fer et de métal inoxydable, il se défend dans la jungle qu'il dit "urbaine" et conquiert sa femelle.

Je me met à la sémiologie?
Mon c**!
Avouons-le je n'ai plus de vase vers lequel me jeter.

Et je ne sais même plus si je cogne encore dans les têtes.

15 octobre 2008

Je T'emmerde Et Je Lave Mon Linge Sale

T'as rien compris au principe
Skyblog fait dans la merde
Je ne suis pas politique
Et my ass vaut de l'or!



J'ai zappé la séance manucure, on me dit internaute, ... J'ai rien d'autre à foutre, tu permets que je m'occupe?
J'ai pas trop kiffé la matinée, fini mon boulot et je baille déjà.
Tic tac fais l'horloge du palier.


La vie continue, tu sers les dents et puis tu avance.
J'ai le rouge et conique brisé.
Ce n'est pas de nos fautes et revenir en arrière parfois n'arrange pas les choses.
Je te croiserai un jour dans la foule, t'inquiète se sera cool, tu es le meilleur, je n'oublie pas.
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Je vis sur planète X-trêm!
Je me muscle le popotin à la J.Lo, je crache par terre pire qu'une rebeu et j'emmerde profond les p'tits blancs.
Vive l'Afrique libre!

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh!
Mate moi les nanas qui roucoulent sous leur faux cils!
Qui portent des ray-bans et se baladent en string!
Beurk de la cellulite!!!
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Je t'envoie mille et une lettres à la centième de seconde, je suis plus rapide qu'une image subliminale qui te laisse des goûts amers dans la bouche.
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Je prends des formes multiples qui dessinent à ton regard des mélodies aussi douces que celles de ton enfance.
Quand tes yeux se révulsent, ils font le tour de ta personne, tu tombe aussi bas et tu te sens planer au-dessus des cieux.
Tes rires deviennent sarcastiques et me scarifient de lignes blanches.
Je prends un peu de poudre et nous partons.
Elles perdent le fil, ils ont oublié que les Ariane ne savaient pas nager, juste poser des repères pour ne pas se perdre dans le noir face au monstre mythique qui hante leur cauchemar.
Ne pleurez pas, vos mères viendront vous border encore à 36 ans, lorsque tu rêve de sa soupe au potiron parce que ta cop' est même pas foutue de cuire un oeuf sur le plat.
Dommage, tu l'avais trouvé dans un carton surprise entre un Action-Man et un Panda en peluche, t'as pas eu d'autre choix, elle était blonde et t'étais seule, t'avais rien d'autre à foutre, tes vieux te prenais la tête.
Et elle t'a monté la tête.
Pas foutue de faire un pas à la suite de l'autre sans que tu lui indique la marche à suivre, mais peut-être que son parfum te rappelais quelques douceurs que tu tardais encore à goûter.
T'as pas eu le choix, te laisser porter par sa voix qui te disais des sucreries et lorsque tu détournais les yeux, elle vidait ta carte grise aussi vite que les fausses bouteilles de Champomy.
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Te rappeles-tu lorsque tu crevais d'amour pour une ombre? Tu plissais tes draps, sombrait dans la folie.
Elle réapparaissait et la lumière fusait. De ses doigts elle dessinait sur ton corps des vies que tu rêvais de parcourir.
Et ses lèvres parlaient de choses que tu n'avais jamais connu, des mondes mystiques, de vertes prairies où ton coeur et elle auriez pu vous étendre.
Des blés et des moissons qui filaient le temps et ton ombre chérie qui repartait.
Tu fermais les poings, n'enserrant que le vide.
Où étaient ces bras qui te protégeaient lorsque tu dormais? Ceux qui t'apaisaient lorsque l'anxiété faisait de toi un inconnu?
Et ces mains froides et chaudes qui captaient toute l'attention de ton visage.
Où sont les yeux que tu attendais pour y plonger?
Te rappeles-tu lorsque tu crevais d'amour pour une ombre?
Dans le noir, coincé entre quatre murs, pas de meuble pour reposer tes membres engourdis, tu marquais ta peau de cicatrices trop rouges, tes larmes qui maculaient tes joues, et tes poings désarticulés.
Puis ses mèches bouclées caressaient tes épaules, tu poussais un soupir et fermais les yeux.
Que les jours te semblaient si courts lorsqu'elle te choisissait pour passer le temps et comme les heures te semblaient longues lorsqu'elle te disait être partie pour un instant.
Elle prenait la peine de te dire des mots d'amour, des tendresses que tu écoutais ébloui.
Et elle prenait la peine de ne rien te préciser sur ces départs, elle ne disait rien de ses venues, tu passais tes nuits à te ronger les sang, à te poser mille et aucune questions auxquelles elle n'apportait aucune réponse.
/
Je crois qu'un jour elle a fait mine d'oublier de fermer la porte, son attention attirée par autre chose.
Tu as glissé entre les verrous et tu es parti.
Dehors des mains t'ont arraché, secoué, tout pris. Tu as été ballotté par tout les côtés, et là-bas tu as entrevu ton ombre se faufiler.
Je t'ai vu, tu n'as plus bougé, tu n'as pas couru.
Un éclair qui passe dans tes yeux, toute cette lumière, ces regards hagards qui te scrutent soudainement.
Où suis-je?
Quitté tes draps froids, quitté tes murs, cette pièce sans meubles et cette porte inlassablement fermée.
Te rappeles-tu lorsque tu crevais d'amour pour une ombre? Lorsque le soleil t'a aveuglé? Lorsque dans ta chair et ton corps résonnait la vie?
Je me rappelle.

13 octobre 2008

I Used To Be Someone Happy

Où allons-nous?
Je reviens ce soir.
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Embrasse-mi et embrasse-moi sont sur un bateau.
Embrasse-mi tombe à l'eau.
Qui reste-t-il?
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Je n'ai pas les cheveux blonds, j'ai les yeux trop noirs, je ne rentre pas dans le moule.
Mes tantes répètent sans cesse que les filles typées sont les plus belles.
Elles aiment faire plaisir et me disent des gentillesses.
Parfois, parce que ton nom porte une différence, la mise de côté se fait ressentir, quelques petites remarques, des attentions mal portée.
Ne soiont pas naïfs.
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Restons haletant devant des réponses qui ne viennent pas.
Tu respire trop vite, j'ai du mal à te suivre, tu décrète la fin, je ne connais pas mes droits de veto.
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Les journées passent et la capitale est ennuyeuse, je comprends pourquoi la Cité semble si géniale, vu le taux de paresses qui flottent dans l'air.
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Je n'ai pas besoin de me défoncer, juste pour balancer un coup, pas besoin de ressembler à un être sans orbites et peau blanche.
J'ai peur d'être sensible à un certain dédoublement personnel, mes doigts font le reste.
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Merci d'être venu, je totalise à mon actif 3 fans et 2 bons.
Je vais finir rock-star dans les caves.
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Et merde je n'arrive plus à pianoter, que fais mon esprit?
Trop occupé, trop peu concentré, pas assez pour pouvoir rentrer en transe lyrique.
J'essaye de fermer les yeux, ne plus rien voir autour de moi.
/
Raconte moi les nuits où j'ai dormi sur tes épaules.
Tu sais que j'étouffe dans le noir, parfois dans cet amour aussi.
Je ne trouve pas la lumière et je perds la main qui me guide.
Engourdie, étourdie comme toutes ces filles.

9 octobre 2008

I Can't Wait

Je suis comme tout les gosses belges
J'attends la Saint Nicolas


Je n'ai pas été giflée, pas aussi fort qu'on ne le croit, cela peut paraître dingue, mais j'aime ça.
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J'ai quitté la Cité pour finir en capitale des 27 étoiles, mais qui pourrait en accueillir bien plus.
Apparemment on a bigarré mon front d'un "cambrienne", comme il est soudain de penser que je suis ce qu'il n'était prévu, rappelez-vous, le temps passait trop vite, cela cachait quelque chose.
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Je suis coincée entre un évier et un mur dégarni, je crois qu'il pleut mais je n'ai pas écarté les pans de rideaux.
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Et je n'ai pas envie de parler en "je" aujourd'hui.
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Temps maussade pour une vie qui ne l'est pas, testons les possibilités qu'il nous reste avant de tomber dans le vide.
Où en serai-je dans 5 années?
Pitié pas en cloque comme vos pâles amies.
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Restons sur nos positions.
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Pas de penser autrement, je ne suis pas dans mes identiques façons.
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Vous glissez sous leur portes des lettres jaunies, cela fait 10 ans qu'elles ne vous donnent pas de réponse, inutile de pleurer, les filles sont plus sadiques que vos esprits torturés, tout ça à cause d'une question de procréation.
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Sommes-nous tomber dans l'oubli?
Mon carnet d'adresse se rempli de jours en jours, je croule sous les visages et les noms, et puis quoi?
Je vous réserve des surprises inattendues, remplies de cotillons et de Paris Hilton, ça sentira la meringue, on s'habillera de vert pomme.
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Sachez-le, 25 Décembre annonce une année de vie pour les Divagations, je compte liquider mes dernières ressources avant l'avènement que je prépare à vos atours.