There's no kindness in your eyes
Je fais figure d'extra-terrestre pour la bande de convives qui m'accompagne.
Mes goûts vestimentaires sont titrés d'excentriques et les musicaux outre-passent la normalité régionale!
Arf! Que du bon! Voyez là mon amusement cuisant face à ces "critiques" effleurées. J'en rigole et répond "merci"!
Serais-je au paroxisme du Nirvana?
Paradoxe grandiose que voilà!
Le nirvana bouddhiste n'étant autre que l'extinction finale, l'apogée de toutes réincarnations, la fin supprême permettant l'acquisition dernière d'une vie à trépas duement espérée, bref sans nul doute le paroxisme certain après d'innombrales mutations malheureuses, que, pourrait-on encore faire l'amalgame, puisque le Nirvana étant paroxisme? Ou existe-t-il un paroxisme du paroxisme?
Oula je m'égare!
Revenons à nos moutons! Il semblerait que je sois rentrée dans une ère nouvelle de mon Moi, qui me procure de nouveaux ressentiments à l'égard du monde qui m'entoure.
(Si certains réchignent devant ses phrases dites compliquées, allez voir ailleurs, votre esprit n'est guère délurée pour ces fantasques envolées!)
Certes je ne vois là que les relents d'un passé peu passé, laissant en moi quelques marques indélibiles, voir brûlées au fer rouge, on ne peut effacer les cicatrices qui jalonnent nos corps.
Mais, il est hors de question que je me retrouve à nouveau inquisitrice d'un malheur qui aurait pu attendre, d'ailleurs toute bonne chose viens à point nommer!
Hey je m'égare encore!
Vers où dont vais-je?
Je n'en sais rien, mais je supplie les instances supérieures de m'aider dans le choix compliqué et difficile dans lequel je me suis engouffrée.
Quel choix? Je n'en sais rien moi-même. Histoire à suivre ...
Remarque bis: St Valentoch! Embrasses mon cul
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