Comme je fus stupide. Comme il a fallu t'attendre. Comme tu ne reviendras pas.
J'ai du mal à redevenir égoïste, m'en aller au bras d'inconnus mal intentionnés.
Doucement aussi doucement que passe parfois le temps, j'embrasse une phrase ou deux, un souvenir lointain qui flotte encore dans ma mémoire.
Comme une intention de ne pas perdre pied. Comme je devrai attendre. Comme je viendrai.
Je ne déteste pas bien et je ne pense pas haïr comme il faudrait.
Toutes les nuances de bleues se mélangent en un ciel parfait, je contemple le vide de la foule autour de moi.
Je me souviendrai encore des matins pluvieux, à me retourner une dernière fois. Un signe.
Attendre un train sur un quai de gare, encore.
Doucement aussi doucement, le monde autour au ralenti.
Derrière mes paupières je mélange le bien et le bon, je n'entends plus tes désolé parce qu'ils n'étaient pas nécessaires et je formule des pardons que tu ne pourras plus entendre.
J'ai peur d'oublier, oublier comment se forment les traits de ton visage, oublier comment sonne le son de ta voix. Oublier comment tout ça me tort l'esprit, oublier comme tout cela me glace les os et les sens.
Je ne veux plus retourner dans ce cycle, couper tout fil et m'en aller.
Comme nous fûmes stupides. Comme nous attendrons. Comme peut-être un jour nous reviendrons.
Doucement aussi doucement que passe parfois le temps, j'embrasse une phrase ou deux, un souvenir lointain qui flotte encore dans ma mémoire.
Comme une intention de ne pas perdre pied. Comme je devrai attendre. Comme je viendrai.
Je ne déteste pas bien et je ne pense pas haïr comme il faudrait.
Toutes les nuances de bleues se mélangent en un ciel parfait, je contemple le vide de la foule autour de moi.
Je me souviendrai encore des matins pluvieux, à me retourner une dernière fois. Un signe.
Attendre un train sur un quai de gare, encore.
Doucement aussi doucement, le monde autour au ralenti.
Derrière mes paupières je mélange le bien et le bon, je n'entends plus tes désolé parce qu'ils n'étaient pas nécessaires et je formule des pardons que tu ne pourras plus entendre.
J'ai peur d'oublier, oublier comment se forment les traits de ton visage, oublier comment sonne le son de ta voix. Oublier comment tout ça me tort l'esprit, oublier comme tout cela me glace les os et les sens.
Je ne veux plus retourner dans ce cycle, couper tout fil et m'en aller.
Comme nous fûmes stupides. Comme nous attendrons. Comme peut-être un jour nous reviendrons.
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