Croyez le où non, mais nous sommes tous réveillé à 8 heure du mat', histoire de mieux commencer à s'imprégner de nos bouquins.
Mr. Philémon trouve ça génial.
Si mes passages se font rares en ces temps orageux, sachez pourtant que toutes les raisons qui me titillent de taper mes esprits fous sur cette page, sont toujours là à me chatouiller les sens.
Je m'en vois désolée de ne pas donner réponse aux nombreuses visites, même volages.
Est ce que tout va bien?
Je me le demande.
Extérieurement oui.
Intérieurement oui.
Et si je pouvais balancer ce qui me pend au nez, ça me plairait aussi!
Mais bon, l'heure passe passe et pendant que je triture je m'occupe à d'autres occupations.
Je serai brève et courte.
Il me fait savoir mes pronoms affixes et former un présent.
Je suis donc beaucoup trop préssée pour tenter quoique ce soit d'intelligent, mais alors mon dieu, comment vais-je tenter la réussite?
Tant pis, on ne change pas une équipe qui gagne, je ferai donc comme je fais.
Et puisque je me dois de vaquer à des opérations que me permettront, parait-il, d'atteindre des sommets.
Pour l'heure le soleil tape fort sur vos têtes, sachez que ces jours sont comptés, pris de juillet, rajoutés en mai.
Vivement la pluie.
Juste se laver de ce qui dérange, partir, s'enfoncer dans la boue jusqu'au cou et puis le déluge.
Lorsque tes yeux s'éclairent, je ne pense pas que la raison première soit de survivre, on sait qu'on a à vivre quelque chose, peu importe la route prise, ce ne sont que des choix parmi d'autres, personnels, impersonnels.
Nous avançons, certains partent plus vite que prévus.
Tout cela n'est qu'une grande machination pour que nous puissons par nos actes, consommer un peu plus la terre.
Mais en attendant, sèches donc tes larmes, ma poupée, tu réspires, je vois ton sang transporter cet oxygène.
Je ne te donnerai pas à boire du cyanure dans une coupe d'argent, où tremperont quelque perles blanches.
Et crie si l'envie te prends.
Je vis, je vis!
Et tant pis pour demain et merci pour aujourd'hui!
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