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17 avril 2008

Comme Une Sonate De Beethoven

Lush Life
Take Away The Time



Me voilà enfin attelée, appareillée pour rejoindre encore les deux bouts entre ce monde et la réalité.
Je me retrouve encerclée par mille et un mots qui n'attendent qu'à s'exprimer.
Il est encore temps de rencontrer Pierre, Pol plus intéressant que Jacques, même si l'obligeance veut que l'année soit terminée.
Je me réjouis comme tout le monde du Summer Time. Je me casse les dents sur des feuilles de papier, sur des gens qui ne veulent plus écouter.
Moi aussi je sais jouer la sourdoreille.

On m'a appris à prendre le temps et je me place dans l'autre, je pardonne et me repose.
Je ne finirai pas ma vie, à enseigner à des avortons le verbe être à la troisième personne de votre nom.
Ne penses-tu pas que la vie à un goût de suie? Depuis que je sais que mon temps est limité, éphémère insecte coincé dans la toile.

Et j'aime ces moments où ma tête ne sait plus suivre mes doigts, inconsciente, éveillée, les yeux grands ouverts sur des lettre qui défilent.
On attend toujours d'autres qui viendront se rajouter à vous. Être un peu moins seule pour passer le fil rouge.
Mais 1 et 1 ne sont pas identiques, dans ces pluriels multiples dans lesquelles l'Homme sait se confondre, facettes différentes sur chaque regard, sur chaque visage.

Et je vis de vous, je pense de vous, je respire de vous.
Tout cela n'a aucune raison si tu es seul, désemparé, abandonné, avec juste ton esprit pour te torturer.

Et pourquoi la jeunesse s'entête donc dans ces crépuscules rougeoyant de sottises folles?
Tu crois rencontrer l'autre dans son plus bel entourage, te revoilà démonter par des phrases insensées.
Il m'est difficile d'assimiler que certains n'ont aucune conscience de leur personne.
Traiter leur corps, s'arracher les sangs, se découper en pièces, se divertir à quelque chose qui n'apporte rien aux sens.

Et si cette page à pixels, porte le nom de divaguant c'est pour mieux vous bercer mon enfant.
Je sais que vous êtes.
Étant de mon coeur, balivernes qui sonnent à votre bouche, je me laisserai aller à ces mensonges éhontés.
Tant que le mal ne se fait pas, je resterai de marbre.

Les frissons qui figent et qui glacent. Montée en puissance d'adrénaline persistante.

Et je crache sur celle qui parle sur mon dos figuré ou propre. Cheveux blonds et peau rose écrevisse, je te déteste déjà ma petite.
Mais dans un heureux hasard articulé par moi-même, il y a d'autre personne qu'il me tarde à connaître, un peu plus en éveil que vos esprits creux.
J'ai fais mon choix, je place les bornes et je cours.

Et toi, quiconque, inconnue ou bel étranger qui prend le temps de perdre ce temps à lire ces lignes, je retourne une révérence.

Au dernière nouvelles, je bouderai les 20 ans de Dour, il y a plus d'électro dans ma Cité Ardente.
Et tout ça pour au moins entendre CSS me lançer "I ain't an Artist, I'm an Artbitch!"

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