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With love, echo.


25 février 2009

Brouillons


09 Septembre 2008

Et je me fous de blondes qui ne comprennent rien à rien à redire.
Tu parles vide à mes oreilles, chérie, rien de tout cela n'est intéressant, tu t'égosille à en perdre la voix, pour rien encore à redire.
Il est dommage de t'affluber d'une mauvais laryngite, d'autant plus que ta pharmacie ne regorge plus de médoc', même les Dafalgan tu les a transformé en poudre à sniffer.
Mais qu'allons nous faire de toi?
Te jeter aux ordures? Tu auras encore à redire!

09 Janvier 2009

Je suis un pure produit marketing. Mes seins, mon cul, tout est fake!
Je suis le premier droïde a te faire bander à plus de 100 mètres!

14 Janvier 2009

Quelque chose qui blesse. Chaque jour le temps s'écoule et nous ne voyons rien passer. J'accueille dans mes bras toutes personnes qui voudraient s'y reposer. Je ne suis pas de nature fragile et en ces temps maussade je cherche et je recompose, de vos yeux emplis de couleur, des images éphémères que les années auront vite effacées.
Chaque jour son lot de consolation, tu te regarde dans la glace, déteste ce qu'elle y figure, demain tout sera contraire à hier.
Se sentir différent et unique, banal on ne peut plus tragi-comique, étrange sentiments qui dépasse l'entendement.

20 Janvier 2009

Un gars prend la route, les panneaux qui défilent, ne pas savoir ou la voiture l'emmène.
Il manque le coche, défoncé dans le fossé, du sang sur le pare-brise.
Une fille rentre des cours sur le tard, un type la chope au coin d'une rue, lui déchire les entrailles et la tue.
Un gosse cache son visages des coups de son père. Il crie, pleurs et supplie. Papa t'aime, il ne sait juste pas ce qu'il fait.
Un pote qui se prend une ligne, se scarifie la peau d'un peu trop, les veines qui éclatent. Je t'enterre mercredi.
Aujourd'hui tu courrais dans les champs, football avec les copains. C'est le ballon que tu as manqué, c'est la mine qui t'as rattrapé.

24 Janvier 2009

J'appelle ça du harcèlement, partout où il va tu tentes de l'attraper au vol.
Qu'attends-tu pour lâcher prise?
Et si il dit non, pourquoi voudrais-tu lui faire changer raison?
Tu parie ses pensées, je ne crois pas que tu arrives clairement à lire dans ses lignes. Et si il se referme contre toi, ce n'est pas par dégoût, laisses-le respirer un temps. Stop.
Crois-tu qu'il me voit? Crois-tu qu'il m'attend? Et que chaque jour qui passe il se langui?J'attrape un coeur qui s'échappe de mes doigts, aucune envie de faire volte-face et le garder en tête jusqu'à ne plus y tenir. Stop.
Je sais quelles sont tes envies. Et puis après?Quand bien tu atteignait le point final de tes espérances, qu'arriverait-il?Et si le chemin n'était pas le bon? Que feras-tu? Stop.
Je suis aveugle, je ne vois rien atour et il me semble plus grand que tout les autres, ma bouche parle comme je prononce son nom et ma tête ne tourne qu'autour de lui. Stop.
Arrêtes de Courir. Stop!
Laisses moi m'échapper. Stop!
Mais comment te sens-tu? Stop.
Un peu plus vivante que jamais, je me réjouis des jours qui m'en rapproche, décompte les heures qui nous séparent. Je me sens bien lorsqu'il pose le regard juste un instant, une fraction de seconde et ma conscience s'envole. Stop.
Et tu crèves lorsqu'il n'est pas là, tu attends qu'il passe la porte et tu hurles si il ne te regarde pas! Tu jalouses des filles que tu ne connais même pas, tu tentes de comprendre le pourquoi du comment, tu te brises l'esprit contre des murs que tu as toi-même construit. Stop.
Tu ne peux pas comprendre! Stop!
Tu es stupide. Stop.
Laisses-moi! Stop!
Laisses-le! Stop!
Et après? Stop.
Après est un autre jour. Stop.

14 Février 2009

On ne te prend pas au sérieux et j'entends faire comprendre que tu as encore ce droit.

Sans doute ne possèdes-tu pas une affinité quelconque avec les matières qu'ils manipulent, tu préfère griffonner sur des vieux magazines les choses qui te trottent dans la tête.
Et dire au monde ce que tu pense par des médiums qu'ils ne connaissent pas.

Je sais que tu finiras autre part, pas ici, peut-être pas maintenant.
Tu n'as qu'une limite à franchir, passe la ligne que tu refuses d'entreprendre.
Je te vois hésitante, je te vois tanguer de chaque côté.

Tu ne trouve pas amusant toutes ces affaires de coeurs et de tête.
Avoues que tu t'es retrouvée paumée plus d'une fois et tu crains que cela ne recommence, pas pour les même raisons, pas avec les même attributs.

Et si tu te posais un temps, juste un temps, jouer les égoïstes et ne penser qu'à toi.
Doucement tu y arrive presque, doucement cependant.

Tu joues sur de nouvelles notes.
Lances la technologie sur des musiques que tu ne connais pas. Tu verras sans doute ce qu'elles donneront à tes pages.

Choc choc sur nos têtes dépravées, nous nous croyons arrivés au sommet, money en poche et gosses en route.
On veut faire comme papa/maman, ne pas divorcer, rester propre et continuer à avancer.
Rigoles sur des blagues style carambars en feintant la "private joke".
Tu places tes mots dans les meilleures soirées bon chic, bon genre, bien trash. 
Cette peinture est plus que hype, j'adore son oeuvre il est grandiose. 
C'est trop cheap, c'est tellement freak.
Tout les matins je respire la rosée, c'est bon pour le transite. 
A quand son prochain vernissage? J'ai fais un shooting tu veux voir?

Claques ton fric dans des choses inutiles, je kiffe total les personnes qui en ont dans la caboch' et qui savent l'auto-dérision par coeur.
Être humble de naissance, simple et ne pas devoir jouer sur des faux-semblant fais de strass et de meubles chinés.

Tu as du mal avec ces conversations de gosses bien élevés qui se rebellent contre le système avec humour et petit doigt levé.
Je sais que tu ne veux pas oublier d'où tu viens et ce que tu as vécu et que chacun de tes souvenirs te rappellent que tu ne vaux pas plus qu'un autre.

Et les nuits sont les meilleurs moments.
Parce que lorsqu'ils dorment tous, ils sont comme des enfants, insouciants, que rien ne risque de briser, pas même leur propre parole.
Embrasses leur joues d'ange qui ont trop vite grandi, feuilletes leur album photo, ils sont égaux au reste, ils jouent seulement sur des notes que tu n'écoutes pas.
Chacun ses choix.
Tu apprends à les comprendre.

Leur tiny face qui danse sur des tons différent.
Dansons ensemble mais tu ne seras jamais comme eux, peu importe!
Dansons ensemble! Dansons ensemble!
Oh tu ne seras jamais comme eux! Peu importe! Dansons ensemble! 
Dansons ensemble!

Avant que nous ne brûlions comme des oiseaux de papier.

23 Février 2009

Il fut un temps où Hollywood menait la danse, on se pressait dans des salles sombres pour idolâtrer des hommes et des femmes qui faisaient des pieds et des claquettes pour emmener au pays des merveilles.Année 40' avant que les boys ne partent se faire déchiqueter au front, dans les bals populaires s'envolaient les jupes.Et le surlendemain débarqués sur une plage hostile.

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