Copieuse de chemise
Le samedi, contrairement à la croyance populaire, est également un jour merdique au même titre que le lundi ou le jeudi.
En ces temps pitoyable, je reste coincée derrière un banc de classe universitaire durant deux heures entières à écouter inlassablement ce que l'art musulman a fait de mieux.
Non pas que le sujet ne me passionne, bien au contraire, mais se lever un samedi matin, est un supplice pour mes paupières et entendre un réveil sonner à 8h30 est plus horrible qu'un Saw 4
(Quelle comparaison hallucinante, encore des comme ça et je passe à la trappe!)
Certes la suite de la journée ne peut pas être pire, non?
Ben non! Ah!
En effet, à peine rentré dans les quelques coups de 13h30, après avoir été attablé devant le repas de midi, après avoir trinqué avec le poste cathodique, je n'arrive toujours pas à trouver la motivation qui m'avait pousser quelque heures plus tôt, à me servir de ma main gauche, tel un pense bête, pour y griffoner les choses impératives que je devais accomplir.
Ma matinée universitaire m'a totalement vidée de ma substance énergétique.
Et j'en deviens folle
Alors récapitulons, si je suis assez "intelligente" pour finir ce sur quoi je m'acharne depuis des mois, si je suis assez "futée" pour tenter de boulotter sur ce qu'on appelle "travail scolaire", si je possède ne serait ce qu'un brin de "jugeote", alors peut-être que je m'en irais loin, loin, loin, loin, assez loin pour ne plus entendre le mot "étude"!
Possible.
Je ne pourrai pas continuer comme ça indéfiniment.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire